Le blog de Serpentfou

Mes fictions et mes opinions dont tout le monde se fout

🇫🇷 Français

Intégral d’Animorph en français

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Resume

L’intégral d’animorph en français (traduction fait par moi avec chat GPT).

Chapitre 17

Les lumières s'éteignirent et je découvris rapidement que les Hork-Bajir n'ont pas une grande vision nocturne. Les éléphants non plus. Mais les éléphants s'en moquent pas mal, puisqu'ils peuvent à peu près écraser tout ce qui se trouve sur leur chemin.

HhhrrrEEEEE-uh! Rachel barrit et partit autour du périmètre du lagon des alligators, se dirigeant vers Frank's Safari Land.

J'étais étonné de sa rapidité. J'avais du mal à la suivre.

J'entendis des cris de mécontentement venant du bâtiment.

"Hé, rallumez les lumières !"

"Je veux être remboursé !"

Nous nous précipitâmes vers le mur le plus proche. Rachel s'arrêta et pressa soigneusement le devant plat de sa tête de boule de démolition contre celui-ci. Elle inclina son poids en avant et nous entendîmes tous les deux un bruit de craquement.

< Heh-heh-heh, > elle ricana. < Juste du bois. Ce petit cochon ne sait-il pas qu'il devrait construire sa maison en briques ? Sors, sors, petit cochon ! Sinon, je soufflerai, je soufflerai, et j'écraserai ce taudis comme une boîte d'allumettes ! >

Elle recula et lança son poids en avant.

WHAM ! CRRRRREEEK !

< Ça devrait avoir fait reculer les gens, > dit-elle. < Maintenant, on entre. >

Elle recula de trois pas d'éléphant et se lança en avant, projetant son poids de camion-benne contre le mur en bois fragile.

WHAM ! Crrrr-ACK ! Craquement !

WHOOOMPF ! Le mur s'effondra.

Maintenant, les gens criaient vraiment. "Hé, je fiche le camp d'ici !"

Rachel entra joyeusement à travers les poutres brisées et le contreplaqué éclaté, barissant comme une folle, balançant sa grande trompe d'un côté à l'autre et créant généralement le genre de chaos destructeur qu'elle aimait provoquer.

< Tout le monde dehors ! > ordonna-t-elle en pensée large bande. < Éléphant enragé ! Éléphant psychopathe en liberté ! C'est Dumbo-zilla ! >

Dans la panique générale, personne ne se souviendrait qu'ils n'avaient pas vraiment "entendu" quelqu'un crier cet avertissement.

Je suivis prudemment dans le sillage de Rachel. Elle s'affairait à lancer sa trompe de haut en bas, faisant sauter le plafond bas à chaque impact.

Je me faufilai devant elle et cherchai le petit Hork-Bajir perdu. Je le trouvai dans sa cage.

Mais je n'étais pas seul.

De l'autre côté de la cage se tenaient trois hommes. Deux portaient des armes à feu standard. Le troisième portait une arme que j'avais vue bien trop souvent auparavant : un rayon Dracon Yeerk.

Les trois humains-Contrôleurs me fixaient bouche bée. Pas de la manière dont de vrais humains réagiraient en voyant soudainement un Hork-Bajir. Mais de la manière dont des gens déjà familiers avec les Hork-Bajir réagiraient en en voyant un là où il n'était pas attendu.

<Euh, Rachel?> dis-je.

<Quoi? Désolée, je suis complètement désorientée et je ne peux m'empêcher de démolir cet endroit.>

<Garde ça pour Jake,> dis-je. <Nous avons de la compagnie!>

"Qui êtes-vous?" l'un des hommes demanda. "Le Vissor Trois ne nous a pas dit que... attendez! C'est l'un des Hork-Bajir renégats! L'un des hôtes échappés!"

Bek me regarda d'un air suppliant. Les Contrôleurs pointèrent leurs armes sur moi. Et l'un d'eux commença à crier dans une montre qui devait aussi être un communicateur.

Ça allait devenir moche rapidement. Ils étaient là pour s'emparer du bébé Hork-Bajir. Nous aussi. Une grande différence : ils pourraient ne pas se soucier si Bek survivait ou mourait.