Le blog de Serpentfou

Mes fictions et mes opinions dont tout le monde se fout

🇫🇷 Français

Intégral d’Animorph en français

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Resume

L’intégral d’animorph en français (traduction fait par moi avec chat GPT).

Chapitre 25

TSEEEEW !

Tir de Dracon.

Keeeew !

Et une rupture. Le câble, vaporisé, juste en dessous de la main de Marco !

Le cube. Libre ! Le sol se précipitant vers le haut...

KABLAMMMMM !

Le cube fracassa le sol dans un tonnerre.

"Ghalaaaa !"

< Yeeaaaaaahhhh ! >

Cris de confusion. Douleur.

Des éclats de verre jaillirent de l'impact comme des éclats d'obus. Faisant couler le sang sans discrimination.

Wumph.

Le poids mort d'un bras de Hork-Bajir s'effondra sur moi et me maintint au sol, le dos contre le sol. Je regardai à travers un trou, un cylindre brûlé à travers son bras supérieur par le feu Dracon !

Marco pendait du fil rougeoyant. Chair et cheveux commencèrent à grésiller.

< Hraaaaahh ! > Pensée-parole et gorille fusionnés en un cri primordial déchirant. Il ne pouvait pas le supporter ! Il tomba. Sur un lit de verre tranchant qui se brisa et craqua sous son poids. Un autre rugissement.

La douleur ravageait mon corps. Comme si l'impact avait fracturé chaque os. Mais j'étais conscient. Morph ! Concentre-toi ! Les grognements et reniflements de la bataille résonnaient dans mes oreilles tandis que la violence faisait rage autour de moi. Je sentis les changements commencer.

Soudain, le corps du Hork-Bajir fut soulevé et jeté de côté. J'étais surpris, vulnérable. J'arrêtai la morphose, deux bras d'Andalite jaillissant de ma poitrine.

Des cheveux blonds scintillaient. Projecteurs. Une main de fer se referma sur mes sept petits doigts. Les écrasant !

Le sous-visser !

Elle me tira à travers le verre coupant. Commença à me traîner sur le sol. Mais ensuite me lâcha et courut vers le cube détruit comme si elle avait oublié quelque chose.

< Aidez-moi ! > Ma voix sortit comme un sifflement sec. Jake et Ax, deux contre cinq avec les Hork-Bajir, ne pouvaient pas entendre mon cri. Le sous-visser fouilla dans les décombres vitreux et trouva ce qu'elle cherchait : la copie miniature du panneau de contrôle. Avec le plus grand contrôle sous un bras et le plus petit dans sa main, elle se dirigea à nouveau vers moi.

<Au secours !> J'ai crié à nouveau, désespéré. Mais j'étais trop faible ! Cassie ne pouvait pas m'entendre. Je l'ai regardée sauter de la table sur les épaules d'un Hork-Bajir, le faisant tomber.

Seul Marco m'a vu. Il a essayé de courir, mais s'est effondré au sol dans un spasme de douleur.

J'ai essayé de forcer la morphose. Plus vite ! Où était la queue ? La lame !

Je n'arrivais pas à garder ma concentration. Je battais des ailes pitoyablement avec mes demi-ailes, demi-bras. Je frappais l'air et grattait le sol avec des jambes épuisées. Mais je ne pouvais pas m'échapper.

<Ahhhh !>

J'ai senti le cercle rouge couper mon dos. Me paralyser. Puis s'arrêter. Elle me frappait à nouveau avec l'appareil de torture. Mais pourquoi maintenant ?

Encore une fois, elle a agrippé mes doigts délicats d'Andalite. Elle m'a traîné hors de la pièce. Vers une sorte de balcon. Peut-être long de douze mètres, mais très étroit. Pas plus de quatre pieds de large. Projetté hors de la paroi rocheuse. Menant à un petit tunnel à l'autre bout. Une plateforme d'observation ? Dans un réseau souterrain de tunnels étroits ? Une odeur putride et terreuse a rempli mes poumons. Une puanteur que je...

"Ahhh !" Un cri fort et strident alors qu'elle s'efforçait de me balancer par-dessus la balustrade. Je suis monté en arc, ses doigts agrippant toujours les miens.

Bam ! J'ai frappé le mur extérieur du balcon.

<Uhhh !> La douleur a secoué mes os pour la centième fois. J'ai regardé en bas.

La piscine des Yeerks.

Cette vaste caverne de la taille de trois Astrodomes. Un complexe Yeerk souterrain. Sous les fondations de la moitié de notre ville. Bâtiments de stockage et de contrôle. Vaisseaux spatiaux amarrés. Diverses espèces extraterrestres se déplaçant rapidement pour leurs affaires, unies dans un but commun : la conquête de l'humanité. Et là, au centre, se trouvait la piscine elle-même. Un liquide boueux et plombé grouillant et tourbillonnant de limaces Yeerk. Dans leur état naturel. Vulnérables là, et seulement là.

"Je ne sais pas ce que tu es !" cria la sub-visser pour se faire entendre par-dessus les cris de protestation des contrôleurs involontaires enfermés au bord de la piscine Yeerk, et le bruit moins horrifique du dôme. "Je ne sais pas quel pouvoir tu possèdes, pour pouvoir te morphoser au-delà de la limite de deux heures." Une haine inhumaine teintait ses mots. "Mais je sais que je m'en fiche. Tu vas mourir ! Mourir ! Mourir !"

Elle a resserré sa prise jusqu'à ce que les os de mes doigts craquent bruyamment. Et puis, elle a relâché son emprise.