Le blog de Serpentfou

Mes fictions et mes opinions dont tout le monde se fout

🇫🇷 Français

Intégral d’Animorph en français

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Resume

L’intégral d’animorph en français (traduction fait par moi avec chat GPT).

Chapitre 29

Je me lançai.

Le faisceau Dracon bougea. Son doigt se serra.

Trop lent. Elle était trop lente. Je la toucherais une fraction de seconde avant qu'elle ne puisse tirer. Je la percuterais avec toute la puissance que je possédais et elle volerait en arrière dans le vide et -

RRRRROOOOOAAAARRR !

Un éclair orange et noir. Il apparut au-dessus du bord de la falaise.

Tellement rapide !

Le tigre me heurta. Griffes rétractées, il me frappa sur le côté et me fit perdre l'équilibre.

En tournoyant, je vis l'arme Dracon pointée directement sur moi, me suivant, prête à tirer.

Et puis, du ciel, un oiseau plongea, ailes repliées, serres tendues. Il griffa le visage de Visser One.

« Aaaarrggh ! » cria-t-elle.

Elle porta la main à ses joues ensanglantées.

Elle recula en titubant.

<Maman !> criai-je.

Pendant un long moment horrible, elle vacilla sur le bord, luttant contre la gravité. Je me relevai d'un bond, courant pour la saisir, la tirer en arrière, d'une manière ou d'une autre, la sauver.

Mais le tigre m'enroula d'un bras massif et me maintint au sol.

Elle tomba. Disparut de ma vue.

<Non ! Non ! Non !> criai-je.

<Tiens bon, Marco,> dit Jake. <Tiens bon, mec. Tiens bon, mec.>

Il me tenait ainsi, cloué au sol. La force de sa morphose en tigre rendait ma propre force insignifiante.

<Tiens bon, Marco. Tiens bon, mec.>

Vaguement, comme si je regardais ça sur une télévision floue, je pris conscience que la bataille faisait rage sur le sommet opposé.

Je savais que plus de Hork-Bajirs avaient rejoint la bataille. Je savais qu’un Andalite les dirigeait. Qu'ils repoussaient la marée des troupes de Visser.

Les Hork-Bajirs libres. Ax les avait amenés de la vraie colonie, à des kilomètres de là.

Dans le ciel, une bataille faisait rage entre le vaisseau de l'Empire et le vaisseau-lame avec ses chasseurs. Ce n'était plus mon problème.

Rien n'était mon problème. Tout ce que j'avais à faire était d'écouter la voix dans ma tête disant, <Tiens bon, Marco. Tiens bon, mec. Tiens bon.>