Le blog de Serpentfou

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Resume

Fanfiction d'Harry Potter écrite en 2024

Suite de Harry Dursley.

L’histoire d’Harry Dursley s’est terminé, mais une interrogation m’obsède : Qu’y a-t-il de l’autre côté du voile ? Cette dernière aventure permettra d’y répondre.

Depuis que j’ai découvert Underverse , je voulais écrire une histoire similaire, mais pour l’univers de Harry Potter. C’est-à-dire une histoire où les fanfic d’Harry Potter serait des univers parallèles. Une histoire où les archétypes d’Harry Potter les plus courant devrait se réunir pour vaincre un ennemi commun qui menacerait l’ensemble des mondes. Je ne peux pas en dire plus pour ne pas spoiler.

Le problème c’est que je suis lent et qu’entre le moment où j’ai eu cette idée et sa réalisation le multivers est devenu à la mode et on en a bouffé à toutes les sauces au point d’en faire une indigestion. C’est dommage que mon histoire arrive dans ce contexte mais d’un autre côté je ne crois pas avoir lu beaucoup de multivers Harry Potter donc ça reste quand même orignal (enfin j’espère car depuis que j’ai commencé à écrire je lis beaucoup moins de fanfic)

Révélation

Dumbledore tournait frénétiquement en rond dans le salon du 12 square Grimmaurd, sans se soucier des dégâts que sa marche anxieuse causait au précieux tapis persan de Sirius.

— Il faut immédiatement partir à leur recherche.

— Voyons Albus. Après toutes ses nuits sans sommeil à rechercher Ryan, on a tous besoin d’un peu de repos. Et puis je ne devrais pas dire cela, mais c’est peut-être pour le mieux. Mon Ryanouchet a besoin de repos, après ses événements traumatisant et vous savez comment l’ambiance est pesante lorsqu’il est là. Et puis je me sens plus tranquille sans cette bande de serpents dans les pattes. S’opposa Lily.

— Non mais qu’est ce qui te prend. Je te rappelle qu’ils ont enlevé ma fille. S’époumona Sirius Black.

— Sirius, je doute qu’il ait vraiment eu besoin de l’enlever. Intervint son épouse : Evana Black.

— Pardon ? S’offusqua Sirius.

— Oh allons, Sirius. C’est pourtant évident. Même Servilus l’a compris. Le taquina gentiment James avec bonne humeur en lui donnant un coup amical dans l’épaule.

— Qu’est-ce que tu veux dire ? Qu’est-ce que ce serpent de Servilus a fait à ma fille ? Se scandalisa Sirius. Comme d’habitude, lorsqu’il était question de sa précieuse fille, il démarrait au quart de tour.

Ils se regardèrent tous gênés.

— Tu sais ta fille est à un âge où on commence à faire des expériences…. Commença James

— Tu crois qu’elle sort avec Neville. Voyons, c’est n’importe quoi. Neville est un gentil garçon, mais ils ne sont pas du tout compatibles. Ma pâquerette a un caractère bien trop affirmé pour lui.

Tous se firent un facepalm.

— Mon chéri, tu sais que je t’aime. Mais parfois, je me demande comment tu as fait pour comprendre que l’on sortait ensemble. Plaisanta Evana Black.

Pendant qu’ils tentaient de faire admettre à Sirius l’inconvenante vérité, Albus Dumbledore pris l’excuse de l’âge pour soupirer quelques instants et refréner le mélange de colère et de culpabilité qui lui étreignait le cœur en contemplant la légèreté avec laquelle ils traitaient la disparition d’Harry. Cependant, en public, il savait devoir contenir ses sentiments. Il ne pouvait pas se permettre de se brouiller avec les Potter et les Blacks. Cela arriverait bien assez tôt lorsqu’il devrait révéler à tous la vérité sur Harry. Il aperçut alors qu’à côté d’eux Ryan continuait comme si de rien n’était à savourer un gigantesque cornet de glace en lisant un livre sur le Quidditch, alors que son frère jumeau était peut-être en danger.

Cette attitude, de la part du seul membre de la famille qui n’avait pas l’excuse de la présence de toile du phénix le scandalisa. Bien sur l’extraordinaire égocentrisme de Ryan était une conséquence aussi délétère qu’imprévus du sort de puissant sort de contrôle mental nommé la toile du phénix, qu’il avait dû appliquer aux Potter et aux Blacks afin qu’il n’empêche pas Harry d’accomplir sa destinée par une attitude trop protectrice. Ou plutôt de l’éducation que ses parents lui avaient délivrée sous son influence. Cependant, en ce moment, elle l’exaspérait plus que jamais. Était-ce parce que la situation actuelle le rendait moins indulgent ou est-ce que son récent enlèvement l’avait rendu encore plus égoïste qu’auparavant ? Mais il fut violemment sorti de ses réflexions avant d’avoir pu le déterminer, par un violent cri de Sirius.

— Non !!!! Jamais je ne tolérerais qu’un sale serpent comme lui touche à ma rose des sables.

— Je doute qu’elle sollicite ta permission. Ricana à moitié James.

— Quoi !!! James, je te préviens, avec tout le respecte que je te dois s’il n’a ne serait-ce que penser à la déshonorer, je le prive de descendance.

— Non mais tu t’entends !? On croirait entendre mon père. Intervint Evana Black

— Ça n’a rien à voir. Se défendit Sirius avec véhémence.

— Sirius ne t’inquiète pas. La plupart des filles ont leur période Bad-boy. Tu te souviens lorsque je sortais avec Snape. Ce n’est qu’une passade. Tenta de le calmer, Lily.

— Oui, Elizabeth est intelligente. Fais-lui confiance. Appuya James.

— Et puis tu sais comment sont les adolescents. Si tu lui interdis de le voir, tu ne feras que l’encourager. Rajouta Evana.

Puis au grand soulagement d’Albus, la cheminé s’alluma et Remus Lupin en sortit précipitamment. Immédiatement l’ambiance bonne enfant se tendit.

— Remus. Le salua Sirius avec gène, pendant que James osait à peine le regarder.

Mais le loup-garou les ignora et se précipita immédiatement sur Albus.

— Je suis venue dès que j’ai pu. Vous avez dit qu’il y a un problème avec Harry. Qu’est-ce qu’ils lui ont encore fait ?

— Comment oses-tu insinuer que nous maltraitions l’un de nos enfants ? Comment peux-tu croire ce sale serpent plutôt que nous ? Nous sommes tes amis pourtant. S’insurgea Lily.

Pour toute réponse, elle reçut un regard noir du loup-garou. Qui continua à invectiver en direction d’Albus :

— J’exige de le voir immédiatement et de pouvoir l’emmener chez moi. Plus rien ne justifie sa présence ici.

— Remus, se serait avec plaisir que j’accéderais à vos exigences, si je savais où il se trouvait. Répondit calmement, Albus Dumbledore heureux d’avoir enfin un interlocuteur capable de comprendre la gravité de la situation. Pour la première fois, il était content que la nature de Remus l’immunise contre les effets de la toile du phenix. Cependant, avant que Remus n’ait pu se remettre du choc d’apprendre la disparation de son quasiment fils adoptif, l’alarme de la maison retenti pour la troisième fois aujourd’hui. Malgré les protections renforcées, quelqu’un était parvenu à pénétrer dans la demeure familiale des blacks.

Tous sortirent précipitamment leur baguette. Tous sauf Sirius qui grâce aux protections connaissait déjà l’identité de l’intrus. Rouge de colère, il ignora ses amis qui s’étaient retranché dans une position défensive et se précipita dans l’entrée et devant un Dark-Harry terrorisé, il cria à pleins poumons :

— UNBSDRLFKJN !

— Heu quoi !

Des idées toutes plus indécentes les unes que les autres se précipitèrent dans l’esprit de Sirius au point qu’il ne put rien sortir d’autre que :

— DES CAPOTES ? EST-CE QUE TU AS MIS DES CAPOTES ?

oOoOoOo

Après que le jeune et presque innocent Dark-Harry se fût remis de cet accueil particulièrement énergique, il se précipita vers Dumbledore et lui expliqua la situation en détail, sans rien omettre (y compris la proposition que lui avait faite Voldemort). Contrairement à ce que tous semblaient penser, il n’était pas assez bête pour tomber deux fois dans le même piège.

Il n’était pas sûr qu’il soit bien plus malin de faire confiance au vieil homme (surtout qu’il ne savait rien du Dumbledore de cette version). Cependant, il n’avait pas le luxe d’être exigeant dans le choix de ses alliées. Sans compter que malgré tous leurs différents, au final, le Dumbledore de son monde s’était sacrifié pour tenter de le sauver.

— C’est n’importe quoi. Albus, vous n’allez quand même pas croire cette histoire abracadabrantesque de voyage dimensionnelle et de mort qui ressuscite. L’interrompit immédiatement James Potter à la fin de son récit.

— Je sais que tu es jaloux de la célébrité de Ryan, mais cette fois, tu dépasses les bornes. Inventer une telle histoire, juste pour faire croire que tu es le survivant. Renchérie Lily.

— Dis-nous immédiatement ce que tu as fait de ma fille. Hurla Black.

Seules plusieurs années d’entraînement à se maîtriser empêchèrent Remus Lupin de se mettre à hurler sur ses anciens meilleurs amis. Pour la énième fois, il se demanda comment ce garçon, si ouvert d’esprit et généreux qui lui avait offert son amitié, avait pu devenir aussi dogmatique et haineux en grandissant. Malgré les remarques insistantes de Snape à ce sujet, il refusait de croire que pendant tout ce temps, il s’était illusionné sur ses meilleurs amis. Seul quelqu’un de profondément bon aurait pu passer outre le monstre qui vivait en lui.

À cette époque où la potion tue-loup n’était encore qu’un fantasme, même ses parents le regardaient avec crainte. Néanmoins, il ne pouvait pas leur en vouloir. N’importe qui de censé aurait eu peur après avoir assisté mois après mois à ses transformations en une bête avide de sang dont les hurlements meurtriers les poursuivaient quelle que soit l’épaisseur de l’isolation dont ils entouraient leur cave. Mais il revint au présent et se prépara à prendre une fois de plus le parti d’Harry, contre ses meilleurs amis. Cela le déchirait à chaque fois mais son seul regret après coup était de ne pas avoir pu le faire plus souvent et plus vigoureusement sous peine de se voir réduire encore d’avantage le temps qu’on l’autorisait à passer avec l’enfant qui avait désespérément besoin de chaque seconde qu’il pouvait passer avec un adulte qui ne le dénigrait pas en permanence. Mais pour une fois ce n’est pas à lui que revint cette tache ingrate.

— Harry n’est pas un menteur. S’il est en danger, il faut aller l’aider. Et de toute façon, je vois bien que ce n’est pas mon frère. Il n’est pas du tout comme lui. Intervint Ryan en surprenant tout le monde.

— Mon Ryanouchet, comme tu as le cœur tendre, mais ce n’est pas la peine de mentir pour le défendre,… S’exclama Lily en étreignant Ryan.

— Maman arrête. Répondit Ryan en repoussant sa mère. Harry n’est pas du tout comme lui. Comment fais-tu pour ne pas le voir ? Le vrai Harry est rempli d’assurance et sa puissance magique est telle que lorsqu’il est en colère, j’ai la gorge qui se bloque.

— Quoi !? Qu’est ce sale serpent t’as fait. S’il t’a fait le moindre mal, je vais le… Menaça James

— Tu ne vas rien du tout. Le bloqua Remus par réflexe en se mettant entre lui et Dark-Harry en remarquant que ce dernier était mal à l’aise (l’attitude de James lui rappelait celle de son oncle)

Dumbledore intervint alors sur un ton autoritaire :

— Je pense que Ryan à raison. La priorité doit être de s’assurer qu’Harry et ce qui l’ont accompagné dans cette déraisonnable expédition soient sains et sauf. Dumbledore espérait que son intervention les convaincrait d’enfin mettre de côté leurs petites dissensions pour se concentrer sur le bien commun. En fois qu’il se fut assurée qu’il avait leur pleine attention, il ordonna :

— James allez me chercher cette cape d’invisibilité, voulez-vous.

— Albus, vous n’y pensez pas, c’est un héritage familial.

— Harry fait partie de ta famille. Intervint Remus.

— Je la destine à Ryan. Rétorqua James.

— C’est Harry qui a la cape d’invisibilité. Enfin notre Harry. Je sais qu’il l'a utilisé pour se rendre à pré-au-lard, alors que vous ne lui aviez pas donné l’autorisation. Elle doit être quelque part dans sa chambre. Le dénonça Ryan.

— Comment a-t-il osé fouiller dans mes affaires ? Et pourquoi tu ne nous as rien dit ? Ne me dis pas que c’est pour ça que tu n’étais pas en sécurité dans la tour de Gryffondor lorsque Peter t’a enlevé ? Demanda James en élevant la voix pour la première fois depuis 12 ans contre son fils préféré.

— Euh et bien. Hésita Ryan soudain mal à l’aise.

— Je suis fière de toi mon fils. L’étreignant soudainement James Potter en oubliant toutes notion de responsabilité parentale

— James ! Le houspilla faussement Lily avec un sourire complice.

Mais Ryan repoussa avec agacement l’énième tentative de ses parents de l’étouffer sous leur affection depuis qu’il s’était réveillé ce matin devant le 12 square Grimmaurd sans le moindre souvenir du mois écoulé, qu’il avait apparent passé sous la captivité de Petter Pettigrow (et de Voldemort si on en croyait les craintes infondées de Dumbledore). Une fois délivré des bras de sa mère, il se retourna vers Dumbledore qui sortait tout juste de la chambre d’Harry avec une étoffe argentée qui ondulait de manière surnaturelle malgré l’absence de vent.

En effet sans que personne ne le remarque dès la révélation de Ryan, Dumbledore s’était précipité dans la chambre de l’aînée des Potter avec une avidité qui n’aurait pas manqué de soulever de nombreuses questions, si comme d’habitude toute l’attention n’avait pas été concentré sur Ryan.

— Bien James et Lily restés ici avec le survivant. Veuillez contacter le plus de membre de l’ordre possible et dite leur de se rendre le plus vite possible à Little Hangleton. Remus, vous venez avec moi.

— Je viens avec vous ! Les arrêta Ryan.

Avant que Dumbledore ne puisse signifier son agacement devant l’énième caprice de Ryan. Lily se jeta sur lui.

— Mon trésor, c’est tellement héroïque de ta part ? Mais tu es trop important pour que l’on risque de te perdre.

— Si la prophétie dit vrai, alors il n’y a que moi qui puisse arrêter Voldemort. Et même si Harry et moi, on ne s’entend pas, je ne peux pas rester sans rien faire, alors qu’il est en danger. C’est mon frère.

Pour une fois, Dumbledore n’eut pas à faire semblant pour être touché par ce plaidoyer. Pour la première fois, depuis longtemps, il se remit à croire que les dégâts qu’il avait causés sûr la famille Potter n’étaient pas totalement irréversibles. Il voulait tellement y croire qu’il ne s’interrogea pas sur les causes de ce brusque revirement dans le caractère de Ryan. À la place, il ordonna sur un ton qui ne souffrait d’aucune réplique.

— Non. Ton heure viendra, mais pour le moment, tu dois rester en sécurité avec tes parents.

Dumbledore lança ensuite un sort compliqué et créa une réplique parfaite de la cape d’invisibilité avant de déposer l’original sur le premier meuble à portée de main et d’adresser à Dark-Harry :

— Jusqu’à nouvel ordre reste sous cette cape. Je te promets de tout faire pour récupérer ton double sain et sauf et vous renvoyer chez vous.

— Excusez-moi Albus, mais si cette cape doit protéger quelqu’un, c’est Ryan. Intervint James Potter. Mon fils, ta mère voulait attendre que tu sois plus vieux, mais je pense qu’il est temps que tu reçoives ton héritage. Et puis j’ai l’impression que tu n’as pas attendu notre permission pour l’utiliser. Rajoutât-il en adressant un clin d’œil à son fils. Sans demander la permission, James arracha la cape des mains d’Albus et avec un ton solennel, leva sa baguette en déclarant solennellement:

— Moi James Potter pris notre ligné de reporter leur protection sur la nouvelle génération. Mon fils prend cette cape et qu’à travers elle, tu sois protégé de tout même de la mort, afin que tu puisses grandir et atteindre la sagesse nécessaire pour l’accepter comme une vielle amie.

Puis une magie étrange enroula James et Ryan Potter pendant quelques secondes. Une fois qu’elle eut disparu, James donna la cape à Ryan qui l’accepta en affichant sur son visage un mélange d’émotion difficile à décrypter. Ryan semblait étrangement satisfait et cela donnait un air désagréable à son visage. Cependant, James ne fit pas plus attention à l’air étrange de son fils qu’à celui pensif qu’affichait Dumbledore et expliqua à son fils :

— Notre grand-père était persuadé que ce rituel permettait à la cape d’accorder à son bénéficiaire une protection particulière. Que c’était nécessaire pour que la cape reconnaisse son porteur comme son vrai propriétaire et lui accorde tous ses pouvoirs. Je pensais que c’était une énième superstition absurde de sang pur et que cette cape était juste une cape d’invisibilité de meilleur qualité que celle que l’on peut acheter dans le commerce. Mais apparemment, j’avais tort. Afin de perpétuer cette tradition immémoriale des Potter, lorsque nous étions la cible de Voldemort, j’avais préventivement fait le rituel pour donner la cape à Harry, mais même s’il est l’aîné de quelques secondes, je pense que tu la mérites plus que lui. Surtout, maintenant, que je sais qu’elle a peut-être réellement des pouvoirs cachés et potentiellement dangereux.

Dumbledore s’éclaircit alors la gorge et demanda d’une voix humble :

— James je comprends vos préoccupations et je sais que je n’ai aucun droit de vous dire quoi faire d’un objet si précieux, cependant si son récit est exact, je crains que notre invité ait besoin de la cape pour conserver ses forces.

Sans attendre de réponse, il retira la cape de la main de Ryan (qui sembla très mécontent de cela) et la remit à disposition de Dark-Harry sur un meuble à côté de lui.

Puis sans d’avantage tergiverser, Dumbledore se rendit sur le perron du 12 square Grimmaurd et transplana pendant que Lily jetait une gerbe de poudre verte dans l’âtre de la cuisine.

Pendant ce temps, Dark-Harry se dirigea vers la cape en se demandant s’il pouvait vraiment faire confiance au vieil homme, avant de se faire intercepter par ce frère dont il ne savait pas quoi penser. La seule expérience qu’il avait eue de la fraternité était ses interactions plus que douloureuses avec Dudley. Ainsi de prime abord, il n’avait eu aucune envie de se rapprocher de lui. Cependant, il s’agissait d’un vrai frère et ce qu’il venait de se passer lui avait donner un faible espoir qu’il soit moins décevant que ses parents. Ainsi ne se méfia-t-il pas lorsqu’il le traîna dans une des nombreuses pièces du manoir des Blacks, loin des regards indiscrets des adultes.

oOoOoOo

Note de l’auteur : J’ai piqué sans vergogne l’idée de Sirius aveugle aux histoires d’amour qui l’entoure à l’excellentissime fic : Le-Dernier-Secret de Ellana-san . Je sais que le plagiat s’est pas bien, mais c’est beaucoup trop drôle pour ne pas être repompé.

Lecteur : Un peu comme les répliques de docteur House dan Harry Dursley ?

Serpenfou lance une boule fumigène par terre, passe 10 minute par terre à cracher ses poumons à cause de la fumée puis s’enfuit en courant.