Le blog de Serpentfou

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Resume

Fanfiction d'Harry Potter écrite en 2024

Suite de Harry Dursley.

L’histoire d’Harry Dursley s’est terminé, mais une interrogation m’obsède : Qu’y a-t-il de l’autre côté du voile ? Cette dernière aventure permettra d’y répondre.

Depuis que j’ai découvert Underverse , je voulais écrire une histoire similaire, mais pour l’univers de Harry Potter. C’est-à-dire une histoire où les fanfic d’Harry Potter serait des univers parallèles. Une histoire où les archétypes d’Harry Potter les plus courant devrait se réunir pour vaincre un ennemi commun qui menacerait l’ensemble des mondes. Je ne peux pas en dire plus pour ne pas spoiler.

Le problème c’est que je suis lent et qu’entre le moment où j’ai eu cette idée et sa réalisation le multivers est devenu à la mode et on en a bouffé à toutes les sauces au point d’en faire une indigestion. C’est dommage que mon histoire arrive dans ce contexte mais d’un autre côté je ne crois pas avoir lu beaucoup de multivers Harry Potter donc ça reste quand même orignal (enfin j’espère car depuis que j’ai commencé à écrire je lis beaucoup moins de fanfic)

Disgrâce

En cette heure tardive, rien ne bougeait dans le bureau d’Albus Dumbedore. Il était presque minuit et cela faisait longtemps que l’activée frénétique de la journée s’était tarie. Puis quelle chose bougea presque imperceptiblement. Le distributeur d’eau oublié dans un coin depuis des temps immémoriaux pivota relevant un mince tuyau d’évacuation qui s’agrandit lentement.

Une fois que l’ouverture fut assez grande, il pénétra dans la pièce avec tout le calme et le silence d’un prédateur en chasse. Il humecta l’air froids de la pièce silencieuse seulement éclairée par l’éclat de lune qui se reflétait dans les nombreux objets en argent qui surchargeait la pièce de leur cliquetis incessant.

Sa langue lui indiqua la présence de plusieurs proies tentant futilement d’échapper à sa présence. Qu’il était bon d’être de nouveau en chasse après toutes ses années. Il ouvrit la bouche se préparant à fondre sur sa proie.

— Arcanoru, laisse ses araignées. Lui ordonna sèchement le demi deux jambes qui l’accompagnait.

Instinctivement, il se redressa et pointa ses crocs en direction de ce serpenteau qui non-content de lui donner des ordres, s’évertuait à jouer avec la nourriture.

Pourquoi le fils de son bien-aimé père lui avait-il donné mission si infamante que d’obéir aux seules deux jambes aimant les araignées ? Ne l’avait-il pas bien servi ? Qu’avait-il donc faire pour s’attirer le courroux de son frère humain. Peut-être aurait-il davantage insisté pour qu’il renonce à son projet de s’en prendre aux demis deux jambes qui peuplaient dorénavant le nid que son père avait passé tant d’année à construire avec 3 autres humains ?

Néanmoins, Arcanoru ne se plaignait pas. Il y avait tant de temps qu’aucun marcheur n’avait susurré le nom que son père lui avait choisi. Tant de temps qu’il avait cru oubliés les souvenirs de cette époque où il chassait ensemble. Cette époque où il ne connaissait pas la faim.

— Ne t’avise plus jamais de te mettre en travers de ma chasse. Lui répliqua Arcanoru en tendant ses muscles ostensiblement dans une position suggérant qu’il était sur le point de bondir.

Il venait à peine d’arriver et déjà, la vaste pièce était saturée de ses odeurs de peur. Pour autant, c’est avec une arrogance feinte qu’il lui répondit.

— Contente-toi d’exécuter les ordres de ton maître stupide bestiole.

Une telle outrecuidance à un âge si jeune lui donnait envie de soulever ses paupières et de poser son regard pour mieux l’examiner. Mais le message codé que lui avait transmis son frère par l’intermédiaire de cet amateur des araignées était claire : il ne devait sans prendre sous aucune prétextée à l’humain et garder les yeux fermés en sa présence. Il avait d’abord pensé que ce léger handicap ne ferait que rajouter du piment à la chasse que lui avait confié son frère. Mais l’humain se révélait bien plus gênant que la perte de ses deux yeux. En plus d’être outrageusement sensible, il était tellement bruyant qu’il n’avait pas eu l’occasion de se nourrir en chemin de quelques rats qui pullulait dans le réseau d’égout enchanté par son père pour s’agrandir à son arrivée et ainsi lui permette de se rendre dans n’importe quelle partie du château.

— Pourquoi protèges-tu ses créatures ? Qu’espères-tu donc tiré d’une alliance avec d’aussi faibles proies ?

— Tu n’as pas besoin de le savoir. Laisse-les tranquilles, c’est tout.

 Si tu ne choisis pas mieux tes alliées, tu deviendras vite une proie à ton tour.

— Je suis déjà une proie et nous sommes dans l’antre de mon prédateur. Reste concentré. Répondit Dark-Harry en prenant une des araignées et en la mettant définitivement hors d’atteinte du serpent géant. Le serpent avait raison, c’était stupide, mais elle lui rappelait Spider et Spidey (les deux araignées semi-apprivoisées qui lui tenaient compagnie dans le placard sous l’escalier).

Après lui avoir sifflé dessus une dernière fois d'u air menaçant, le serpent lui tourna le dos et s’avança dans la pièce, jusqu’à passer sous l’embrasure d’une porte qu’Harry devinai être la chambre du vieil homme qui avait juré sa perte.

Pendant un instant, Dark-Harry fut tenté de l’arrêter une fois de plus. Ce n’était pas le plan. Du moins pas le plan que lui avait communiqué Lord Voldemort (à chaque fois qu’il y pensait Dark-Harry trouvait ce nom ridicule et se demandait quelle mère avait été assez cruelle pour appeler son fils ainsi). Une fois qu’il lui aurait ouvert la voie du bureau directoriale via la magie qui lui permettait d’agrandir les tuyaux, le serpent géant était censé resté à ses côtés pendant qu’il fouillait le bureau à la recherche de la baguette du directeur, puis le ramener à l’extérieur avant que quiconque ne remarque son intrusion. Cependant, le moment était déjà suffisamment, stressant sans y rajouter la surveillance constante d’un serpent géant affamé.

Dire qu’il avait considéré comme le plus beau de sa vie, ce moment où Voldemort lui avait montré comment parler à son serpent Nagini. C’était son premier acte de magie consciente après tout. Sa joie avait été encore renforcée lorsqu’il lui avait promis que s’il suivait ses ordres, il pourrait bientôt commander son propre serpent. Un serpent bien plus grand et dangereux que Nagini.

Il comprenait maintenant que le mage noir devait se douter qu’il hésitai à lui obéir et n’avait fait que lui mentir pour l’appâter. Comme il l’avait dit un peu plus tôt au basilic, il n’était qu’une proie qui s’était stupidement jetée au milieu de la tanière d’un prédateur.

À partir de l’instant où à son appel, le monstre s’était lentement glissé en dehors de la bouche de l’immense statue caché dans les profondeurs du château, il n’était plus question de douter et encore moins de changer d’avis. S’il s’avisait de vouloir s’enfuir ou de désobéir au véritable maître d’Arcanoru, le serpent l’écraserait entre ses anneaux avant même qu’il n’ait le temps d’appeler à l’aide. Et maintenant qu’il y réfléchissait, il doutait franchement que le mage noir tienne sa promesse de lui donner sa baguette en échange de celle du directeur.

Il aurait dû rester chez les Weasley comme son double l’avait voulu. Les yeux au bord des larmes, il commença le plus silencieusement possible à ouvrir tous les tiroirs en espérant que tout ça serait bientôt fini.

oOoOoOo

À travers la cloison, il entendit le demi deux jambes commencer à fouiller la pièce. Bien ! Malgré les ordres stricts de son frère, s’il avait une fois de plus hésité, Arcanoru ne savait pas s’il aurait pu se retenir de planter ses crocs dans la chair tendre de l’agaçant serviteur de son frère. Heureusement pour se serpenteau, il avait à sa portée une source d’irritation encore plus grande.

Arcanoru sortit sa langue et huma l’air à la recherche de proie. En-dehors de sa cible la pièce semblait vide et lentement, il ouvrit ses paupières et son regard mortelle se posa sur le vieillard qui se tenait assoupis dans son lit faible, fragile et vulnérable. Malgré le temps écoulé, il avait la même odeur que l’homme qui avait contraint son frère à l’abandonner, le condamnant ainsi à retourner dormir seul dans le noir.

Prudemment, il s’avança, redoutant à chaque poussé imprimé par ses puissants muscles de franchir une de ses barrières invisibles ou de déclencher une de ses agaçantes alarmes que les deux jambes aimaient créer avec leur bâton pour se donner une illusion de sécurité. Mais il n’y avait rien. L’homme, semblait-il, faisait aveuglément confiance aux protections du château.

'Les protections de son père', pensa avec douleur Arcanoru en se remémorant les nombreuses soirées que Salazar avait passé à les mettre au point et à se plaindre devant son familier de l’incapacité de ses 3 compères à l’aider à mettre au point une magie aussi subtile que les protections du château.

Arcanoru se mit à avancer plus rapidement confiant dans le fait que jamais la magie de son père ne pourrait le blesser. Très vite, il fut suffisamment proche pour distinguer nettement chaque de son corps qui se soulevait régulièrement au rythme d’une respiration rapide et de quelque gémissement. La Némésis de son frère semblait avoir le sommeil agité, comme s’il se doutait que ce serait peut-être son dernier. Arcanoru se redressa et se prépara à frapper. Cette fois ni Tom, ni ce Harry n’était là pour l’empêcher d’étancher sa soif de sang frais.

oOoOoOo

Pour ce qui lui semblait être la énième fois, Dark-Harry sursauta.

— Il y a quelqu’un ? Murmura-t-il, mais une fois encore seul le silence lui répondit.

Il abandonna le tiroir qu’il était en train de fouiller de toute façon, il était sûr que la baguette ne s’y trouvait pas. À la place se drapa d’un plaid écossais qui traînait dans un coin puis éternua en se rendant compte qu’il était recouvert de poil de chat. Curieux, il ne lui semblait pas que le directeur avait un animal de compagnie, s’étonna-t-il. Néanmoins ce qui l’inquiétait vraiment, c’est que malgré la chaleur étouffante qui s’était exceptionnellement abattue sur le Royaume-Uni depuis quelques semaines, il était frigorifié. Il se frictionna les mains et pour la première fois, il l’entendit clairement.

— Le froid est en toi.

— Arcanoru, c’est toi. Tenta-t-il de répondre à la voix sifflante, mais il se rendit compte une fois que les mots avaient franchi ses lèvres qu’il avait parlées normalement.

— Arcanoru, nous connaissons ce nom.

— Qui êtes-vous ?

— De simples outils, sur le chemin de la grandeur.

Harry poussa un soupir de soulagement en comprenant

— Je dois trouver une baguette. Vous pouvez m’aider ?

— Nous pouvons t’aider à obtenir bien plus qu’une baguette.

— Pour le moment, je veux juste trouver cette putain de baguette et m’en aller d’ici.

— Ton cœur aspire à bien plus. Rejoins-nous et nous t’offrirons le pouvoir.

— Le pouvoir de te venger.

— Le pouvoir de ne plus jamais fuir

Harry n’était pas stupide. De plus à chaque fois qu’il avait pu, il avait volontairement ralenti le rythme de ses corvées du soir afin de pouvoir écouter Pétunia lire son histoire à Dudley (il n’avait jamais compris pourquoi Pétunia ne l’en avait jamais empêché, mais ça l’arrangeait.) et ce n’était jamais une bonne idée pour les héros de ses histoires d’écouter les voix mystérieuses leur promettant le pouvoir. Une fois de plus le vrai pouvoir. Celui qu’il recherchait, se conquière, il ne se donne pas.

Malgré les voix, qui continuât à raisonner dans sa tête, Harry repris donc ses recherches en ouvrant l’un des nombreux tiroirs, mais ne tomba que sur de vieux albums photos représentant majoritairement deux hommes se tenant la main dans la lande anglaise. Il referma violemment le tiroir lorsqu’il tomba par erreur sur quelques photos trop personnelles.

Il n’avait plus le temps, il devait se dépêcher. Pris d’une soudaine panique, il se mit à fouiller frénétiquement un peu partout sans se rendre compte que le froid devenait de plus en plus intense et les voix des plus en plus fortes. Si seulement il arrivait à les faire taire quelques minutes, il pourrait se concentrer et réfléchir. Il tenta de se boucher les oreilles, mais elles raisonnèrent encore plus fort. Puis brusquement tout s’arrêta. Il cligna des yeux et se rendit compte qu’il se tenait devant une grande armoire vitrée la main tendue pour en saisir la poignée. Il ne se souvenait plus de comment il était arrivé là. Il colla son nez à la vitre et aperçu à l’intérieur 3 objets magnifiques qui semblaient l’appelé au plus profond de son âme. Pour une mystérieuse raison, il avait l’impression qu’il lui appartenait. Il tenta de se retenir, mais sa pulsion était trop forte. Il lui fallait cette coupe, ce diadème et ce collier.

Il abaissa la poignée de l'armoire libérant l’enfer sur la pièce autrefois si calme.

oOoOoOo

Arcanoru ferma les yeux pour savourer ce moment et plongea vers la jugulaire de sa proie lorsqu’un bruit atroce retentit. Immédiatement, il sentit le demi deux jambes se réveiller et dégager une violente vague de magie brute qui le repoussa lui et tous les objets aux alentours jusqu’à heurter violemment le mur et passer au travers. Doucement, il se releva au milieu des débris en bois et en béton de ce qui avait été le bureau du directeur. ‘Heureusement que j’avais les yeux fermés ou la violente déflagration m’aurai rendu aveugle’ pensa-t-il en examinant deux pieux pointus qui s’étaient arrêt à moins d’un millimètre de ses précieuses pupilles.

Mais il n’avait pas le temps de davantage s’inquiéter de ses blessures que déjà les deux jambes s’avançaient vers lui en irradiant de pouvoir et d’une aura mortelle. La langue d’Arcanoru frémit d’excitation pendant qu’il regardait le deux-jambe lever la main et attirer à lui un long bâton de bois. Enfin, la chasse devenait intéressante.

Sans s’inquiéter davantage de son environnement, il se précipita sur sa proie.

oOoOoOo

Dark-Harry se releva péniblement en crachant de la poussière et en ne comprenant pas ce qui s’était passé. Une minute, plus tôt, tout était calme et là, il recrachait de la poussière au milieu de débris pendant que des bruits sourds se faisaient entendre à côté de lui. Hagard, il regarda autour de lui et vit que l’intégralité des meubles de la pièce semblait défoncer à l’exception de l’armoire qui contenait toujours les 3 objets qui elle semblait miraculeusement intacte. Il ressentit de nouveau leur appel et tenta de tendre sa main vers eux lorsqu’il sentit une autre force le pousser violemment en arrière. Sans qu’il ne puisse s’y opposer, il fut traîné sur la moitié de la pièce jusqu’à se retrouver collé contre des robes violettes qu’il reconnut immédiatement.

Il déglutit et leva les yeux au ciel et découvrit le visage d’Albus Dumbledore qui le regardait avec sévérité.

— Nous discuterons plus tard. Pour le moment, reste derrière moi.

À peine eut-il fini sa sentence qu’une violente lumière dorée s’échappa de sa baguette et rata de justesse la tête du basilic qui saignait légèrement. La baguette qu’il s’était engagée à rapporter à Voldemort.

Il n’eut pas le temps de davantage l’examiner que le directeur fit un geste étrange de la main et que ses yeux furent recouverts d’une sorte de voile sombre semblable à des lunettes de soleil qui brouillaient sa vision.

— Ça te protégera. Si seulement Fumseck ne m’avait pas quitté.

Dark-Harry se retint de lui hurler qu’il n’était pas aussi naïf que son double et qu’il savait qu’il le tuerait à l’instant où il n’aurait plus besoin de plaire à son double pour obtenir des informations. Il regarda pendant quelques secondes le violent affrontement entre le basilic et le vieux sorcier.

oOoOoOo

Comprenant que son regard était inefficace contre son adversaire, Arcanoru tenta une charge mortelle qu’il dût dévier au dernier moment pour éviter un éclair noir produit par le bâton du vieux deux jambes. Normalement, Arcanoru aurait fait confiance à sa peau épaisse pour dévier le maléfice, mais l’aura de cruauté qui entourait le sort ne lui laissait aucun doute sur la nature du maléfice. Le vieux deux jambes osait utiliser les sombres inventions de son père contre lui.

Il poussa ce qui ressemblait le plus à un cri de rage et se dégagea des débris du seul mur encore intact qu’il avait défoncé en tentant d’éviter le sort bien décidé à faire payer son outrage au vieux deux jambes. Mais à peine eut-il eu cette pensée qu’il dût esquiver précipitamment une autre série de sort plus noire et puissant les uns que les autres, qu’il évita de justesse au prix de blesser son corps déjà égratigné par les nombreux débris qui parsemait cette pièce bien trop étroite pour lui. Arcanoru commençait à se demander qui était réellement la proie.

— Experliarmus. Entendit-il hurler la voix aiguë d’un deux jambes, avant qu’un éclair blanc ne touche son adversaire. Ayant totalement effacé de son esprit la présence d’Harry, Arcanoru ne comprenait pas bien ce qui s’était passé, en revanche, il remarqua le bâton du deux-jambes s’échapper de sa main pour voler à l’autre bout de la pièce. Il ne perdit pas une seconde pour foncer sur le vieil homme maintenant désarmé.

oOoOoOo

Malgré son épuisement, Dark-Harry courait à en perdre haleine, la baguette de sureau dans sa main, en exultant de joie. L’effort avait failli le faire s’évanouir, mais ses heures à s’entraîner sur le premier sort enseigné parle manuel de défenses pour débutant qu’il avait trouvé chez les Weasley avait fini par payer. Il avait lancé son vrai premier sort et il n’avait même pas eu besoin de baguette pour cela.

Une fois remis de sa surprise, en constatant que la baguette tant convoitée était dans sa main, il avait fui dans les escaliers de la tour à moitié défoncée par les chocs provoqués par le combat de titans qui se déroulait au sommet, sans un regard en arriéré pour le vieil homme désormais bien trop en difficulté pour le suivre.

Une fois arrivé en bas, il dut s’arrêter devant une gargouille de pierre qui bloquait l’accès à la sortie. Débordant de confiance suite à sa première réussite, il retenta le seul sort qu’il connaissait. Mais cette fois, ce ne fut pas un faible éclair blanc qui s’échappa, mais une lumière si éclatante qu’il crut brièvement être devenu aveugle. Lorsqu’il recouvrit la vue, il constata que la gargouille gisait brisait à l’autre bout du couloir défoncé. Et contrairement à la première fois, il se sentait en pleine forme. Le sort loin de le vider l’avait rempli d’énergie et il sentait sa magie crépitait autour de lui. Sans qu’il ne puisse s’en empêcher, il poussa un hurlement de joie.

Dorénavant, il n’était plus un petit garçon sans défenses. Puis son cri se transforma en rire, lorsqu’il entendit un hurlement de douleur semblant appartenir aux vieux sorciers qui avait gâché sa vie. Que la vengeance était douce.